Manifestation de professionnels de la petite enfance,à Lyon,le 19 novembre 2024. NICOLAS LIPONNE / MAXPPP C’est une nouveauté pour les communes. A compter du 1er janvier,elles ont la responsabilité de l’organisation du service public de la petite enfance. Un terme à l’énoncé un peu pompeux pour désigner un nouveau cadre d’organisation relatif à l’offre d’accueil des 2,17 millions d’enfants de moins de 3 ans,selon les chiffres de 2022,sans garantir pour autant un « droit opposable » à un mode de garde pour les familles et dans un contexte de crise profonde du secteur. Mais si des questions demeurent,le dispositif marque une avancée.
Les communes de plus de 3 500 habitants seront tenues de planifier,selon les besoins,le développement des modes d’accueil. Tout gestionnaire souhaitant ouvrir une structure devra solliciter l’autorisation du conseil municipal. Les communes de plus de 10 000 habitants devront élaborer un « schéma pluriannuel de maintien et de développement de l’offre d’accueil du jeune enfant »,et mettre en place un relais petite enfance,lieu d’information destiné aux futurs parents et parents de jeunes enfants ainsi qu’aux professionnels.
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